



Il serait bien que chacun fasse passer son bilan de l’année sportive 2008 (même s’il reste quelques coursinettes à faire pour quelques uns. Toma a fait une page spéciale “bilan” avant la page spéciale “OBJECTIFS 2009 !”.
BILAN 2008
J’ai testé les phénomènes sur un footing très arrosé cet après-m. Premières sensations sympas = pas de gêne, sensations agréables de maintien, pas de douleurs particulières, trop tôt pour donner un avis précis sur les différences perçues sur la foulée ou la récup. bref un truc sympa, et à porter aussi dans l’heure suivant la séance. A voir maintenant sur une grosse séance VMA ou d’ordinaire je reviens avec les mollets en béton ou une grosse sortie trail. Et vous ?
Luc
Vous y apercevrez deux barakafrites en VTT le dimanche matin. (au bout de 2′58″)
Raid Viva Cool – Challenge Jean Gilly (Vogüe – 07)
Après notre 7ème place l’an passé sur un parcours différent, nous avions à cœur Seb et moi-même de revenir en forme en terre ardéchoise pour monter sur le podium cette fois-ci… Dimanche matin, on était de retour… ok mais pas en aussi bonne forme qu’on l’aurait voulu… la faute à quelques virus à l’entraînement : celui de la grippe et celui de la flême… Bizarre j’ai choppé les deux…
Après un bon petit repas samedi chez la Roizot Family et une bonne nuit, on se retrouve à 9h30 du mat au départ des Championnats du Monde de Vogüe
Les collègues de Seb nous chambre déjà pas mal, il va falloir sortir du lourd dés la course à pied… Pan ! C’est parti ! Et pendant près de 2km on se retrouve en tête avec 50m d’avance sur le peloton bien groupé… Euh qu’est ce qui nous a pris ? Ah oui on voulait être sur la photo… Seb galope tranquille devant, il est facile… super facile ! Derrière je commence à voir apparaître de petites étoiles, puis des moyennes, puis de très grosses… Les futurs vainqueurs en profitent pour nous passer à ce moment-là, Seb me pousse mais je n’arrive pas à m’accrocher malgré (à cause ?) un parcours tout plat… Petit à petit je fais perdre quelques places à l’équipe = le boulet… Comme l’an passé Seb prend le large à 1km de la fin de la section pour arriver aux bateaux avant moi et préparer un peu tout le matos.
Nous embarquons sur l’Ardèche en 7ème position, les premiers sont malheureusement déjà loin et connaissant leurs qualités en kayak (gérant rivière artif St Pierre de Bœuf), on ne les reverra pas de si tôt… Après quelques boulettes de coordination et deux virages mal négociés (faut dire qu’on pagaye 3 fois par an ensemble et que c’est toujours en course), on arrive à progresser correctement sur une section canoë superbe : cascades de mousse, courses de canards, de très beau rapide avec de l’eau plus qu’il n’en faut, une température idéale, bref le top !
Débarquement, il faut encore monter le bateau sur la rive : là tu sens que t’as des petits bras… Une brève course à pied jusqu’au parc à vélo, juste pour se rendre compte que les jambes sont dures et les biceps en compote… Une bonne transition avec recharge des camelback, et on ressort du parc à vélo en 3ème position. Quelques mètres de plat et on est directement dans le dur. La longue (très longue) montée sur la crête nous rappelle qu’on est bien en Ardèche, et que les cailloux y sont là-bas plus nombreux qu’ailleurs… surtout après les pluies du mois de septembre… Quelques minutes plus loin on croise des supporters : les Barakafondues en train de pousser le vélo dans une montée. Ils voulaient faire le grand parcours juste pour la CO… des inconscients je vous dis
De notre côté Seb a la patate et file devant, quand moi je me traîne derrière les avants-bras et les mollets crampés ajoutés à un dérailleur qui veut pas que je mouline. Bref un grand classique désormais. A mi parcours du VTT, des signaleurs nous annoncent 4ème à 7 minutes des 3ème. Ouch ça va être dur… Surtout que derrière on aperçoit la meute qui nous file le train. Mes jambes revenant enfin dans la partie, je prends un relais appuyé (ah ça fait plaisir de pouvoir montrer à son co-équipier qu’on est pas trop un boulet quand même… pour arriver à la VTT O’ avec 500m d’avance sur nos suiveurs.
Mot d’ordre sur cette orientation, on y va cool, on s’arrête à chaque croisement pour faire le point. Dés la première balise nos poursuivants nous reprennent et partent devant… 1km plus loin dans une énorme montée on les voit déjà plus… Soit on rame, soit on s’est planté… Un coup d’œil sur la carte : et mince on s’est planté ! Demi-tour, on verra plus tard sur les résultats qu’on y a perdu pas mal de temps. Les autres balises se passent assez bien même si il nous manque de la vitesse sur ce genre de section (9ème temps de la VTTo’ à 7minutes des premiers).
Une place de perdue sur l’orientation et des guguss sur le porte-bagage, il nous reste une courte section pour faire la différence et reprendre notre médaille en chocolat. Une longue portion de route “à la triathlète”, puis un long chemin herbeux jusqu’à une dernière portion très pentue… Derrière ils ont lâchés prise et, miracle, devant l’un des leurs à pêter… La 4ème place est pour nous ! S’en suit un contre la montre avec rétroviseurs pour gérer leur retour. Seb perd son plateau porte-carte, tant pis, ça le fout en rogne mais on reviendra le chercher plus tard. Dernière portion en single track, on lâche tout dans la dernière descente sur Vogüe, arrivée fracassante sur la place du village, Cécile, Sarah, Célia et le (nombreux) public sont là !
On termine bien 4ème, à 4 minutes de la 2ème place…
Bref, il faudra revenir encore l’an prochain pour monter sur ce fichu podium et s’emparer du Challenge de Jeannot…
6 h départ de Chabeuil, le mériva est chargé depuis la veille, tout est OK
Arrivés sur place 1h30 plus tard, il fait encore nuit et on trouve quand même le parc à VTT à Pradons. Retour sur Vogüé, on croise Toma et Seb, ils ont le temps, ils partent 30 minutes après nous.
9h00 départ du château. Lilian a pour consigne de prendre son rythme sans chercher à suivre la tête, moi je me calerai sur le sien. Les 7km de la première càp sont tout plats, ça m’avantage beaucoup et je suis donc dans mes pantoufles, Lilian n’est pas au mieux, mais c’est un diesel, je sais qu’il va se chauffer. Manque de bol, à mi parcours, alors qu’il commençait à bien ronronner, il chope mal derrière la cuisse et on stoppe un peu notre début de remontée. Canoé, plutôt bien on reprend une douzaine d’équipes et on se fait doubler par une seule, celle de Mickaël Peschier (Champion olympique quand même). Début du VTT, Lilian veut tout casser et part un peu fort et trop en puissance. Comme le début n’est pas du tout facile, ça le remet dans le rouge et il s’énerve. Puis petit à petit, les jambes se mettent à beaucoup mieux tourner, je ne l’attends plus du tout, il prend la tête et la machine est en route. Bifurcation cool/raid, le signaleur nous annonce 16° (un passant nous avait dit « dans les 20 » juste avant). Et voilà mon Lilian qui en remet une couche. Grosse descente super caillouteuse, je passe devant, je prie que Lilian ne crève pas encore avec ses Michelins de MMM…… . Je l’attends un peu en bas, je le vois débouler. Ouf c’est bon pas de pneus à plat ? Je rembraye jusqu’au pointage à 300m, je me retourne : personne. Non ? pas possible ? pas maintenant . Le temps que je retourne sur place, la réparation est finie, mais il m’annonce que le pneu est déchiré. On gonfle quand même, et on voit une grosse bulle de chambre à air sortir du pneu par une entaille de 3cm de long. Moment de doute, abandon ? Non ! Retour au camion du pointage « z’auriez pas un couteau ? » On coupe deux gros bouts de chambre à air qu’on glisse entre le pneu et la nouvelle chambre ? ça fait une petite bulle, mais ça tient. A ce moment là, je suis persuadé que ça va péter dans 10 minutes. Y’a au moins 15 équipes qui sont passées, on repart avec une équipe qui a mis 2 plombes à réparer une crevaison de base. On a perdu 25 minutes Le moral n’y est plus, on se dit qu’on va finir en rando. Puis on remonte facilement les équipes qui nous ont doublé ? Lilian est très prudent dès que c’est rocailleux. Le VTT O’ se passe plutôt pas mal, même si on reste prudent dans la caillasse. On foire aussi la 37, même si j’empêche bien Lilian de suivre la meute des moutons en perdition, on croit pas assez à notre option qui était pourtant la bonne et on traine à y aller franchement. (jusqu’à l’arrivée de G.Sarty …qui nous conforte dans notre choix). Début de la CO, je fais une chtite boulette d’entrée, vite récupérée, puisqu’on arrive super bien sur la 1. Les autres s’enchaînent bien, on fait une coupe de sanglier avec deux nanas de CO, coupe réussie, mais dans les ronces, pas sûr qu’on y ait gagné. Lilian commence à accuser le coup. Et je chie totalement la 6 après une autre coupe en passant à deux pas de la balise et en fouillant à la Gwenaël pendant ¼ d’heure au lieu d’aller rechercher un point d’appui. Bref, le reste se finit bien, y’a quand même un max de ronces et même si les murets sont de bons appuis, c’est vraiment la jungle !!!. On n’a plus trop de jambes tous les deux. Retour VTT, il reste 2km, on donne tout, on lâche les ¾ équipes qu’on a au cul (c’est là qu’on voit qu’en VTT, on avait la caisse) et c’est la fin. Maudite crevaison, sans cela on partait dans les 15 sur le VTT’O, mais on aurait peut-être moins bien géré la pression et sûrement confondu vitesse et précipitation.
A prévoir :
- Avoir un compteur VTT chacun ou faire en sorte que je puisse lire le mien malgré le porte carte VTT
- Trouver le moyen de coller les grips de poignées qui n’ont fait que tourner dès le début à cause de l’eau des gants suite au canoé.
- Dire à Lilian de s’acheter un sac de raid, pour que j’ai pas deux paires de runings à trimbaler dans mon sac et aussi des roues tubeless ou des pneus increvables pour qu’il arrête de crever une sortie sur 2.
- Acheter des guêtres de C.O. pour les ronces. Se bricoler des graduations amovibles ou autocollantes à foutre au bord de la boussole avec les correspondances des différentes échelles (c’est jamais les mêmes sur ces raids)
- Se bricoler un système de fenêtre avec des élastiques sur le porte carte VTT (déjà vu et c’est tout con à faire)
- Bricoler des systèmes de remorquage càp et VTT
Y’a du boulot pour l’hiver !
En attendant les différents récits de course, voilà ce qui estpassé dans le Dauphiné mardi en complément de l’article “sérieux” du reporter local.
Chronique d’un raid in-vivo
Vu que j’ai déjà oublié deux fois cette année ma poche à eau de camel back, je vous ai fait une petite liste pour dimanche. Comme ça vous, vous oublierez rien !!
VTT: Chaussures, Casque, Outils (dérive chaîne, clés allen, multi-tool), Pompes (2) et cartouches CO2, Chambre à air, Camel back (avec poche à eau et tétine), Porte carte VTT, Couverture survie, Matos de remorquage, Gants courts et longs
COURSE à PIED et C.O. Baskets, Porte cartes étanche, Porte définitions, Zip pour carton de contrôle, Boussole, Feutres fluos et stylos, Frontale + piles
Fringues : Casquette, Lunettes soleil, Shorty, corsaire et cuissard vélo, Maillot manches longues et courtes, Coupe-vent sans manches, Manchettes et jambières, Chaussettes (plusieurs paires), Buff, Veste Goretex.
LICENCE !!!
Fringues de rechange (dont) Chaussettes, Polo team, Serviette de bain, Grand sac plastique
BOUFFE : Gatosport, Bouteille d’eau, Bidons, Poudre inko, Barres, Gels
CAISSE SECOURS: Porte-dossard, Epingles, Vaseline, Petits élastiques, Ciseaux, Scotch, Ficelle, Crème solaire, Kleenex, Anti-buée lunettes, Clips d’électricien, Talc, Médocs
C’est LE rendez-vous de fin de saison pour toutes les “barakafrites” de l’univers ce dimanche.
Sur le Viva-cool, Seb et Toma LES “barakafrites” (les vraies) essaieront de faire aussi bien que l’an passé. …. . (c’était quoi déjà ??)
Sur le Viva-raid (le vrai) les “Barakafondues”, Chouchou et Loulou appelés aussi Laurence et Eric attendront avec impatience le dernier secteur de CO pour se régaler (….. s’ils ont encore des jambes). Et les “Baraka-Caillettes”, alliance de Luc-la-panthère-rose et Lilian-le-fougueux feront tout pour poser le VTT devant les “p’tits joueurs” du raidounet avant de tout tenter pour ne pas se paumer sur la dernière CO.
Ne manquent à l’appel que Gwen-le-judoka et Bernard le “Valérie-Damidot-du-team”
Pour la fin de saison et pour la prochaine, Compresport nous équipe de leur nouvelle jambière d’effort.
Le principe actif de cette jambière de compression diminue considérablement l’accumulation des toxines et plus particulièrement lorsque l’effort se prolonge.
Le gainage du mollet permet de réduire de manière significative le mouvement oscillatoire des muscles, repoussant ainsi la fatigue et limitant de ce fait le risque de blessures.
Une fois l’activité sportive terminée, Compressport vous permettra de récupérer plus rapidement et vous retrouverez des jambes légères, prêtes pour de nouveaux entrainements.
http://www.compressport.com
J’attends vos tailles…