


avec tout plein de passages de Barakafrites à l’image !!!
…qui font un point CO en ville, qui descendent comme des avions à VTT, qui mémorisent la CO mémo, qui passent sous le tunnel, etc….
Nous étions plus de 360 inscrits sur les 2 parcours. 13kms dans une neige assez lourde puisque au départ à 17h30 il faisait encore 10°C. J’étais préparé, non pas pour jouer devant, mais pour faire ma course. Et puis soyons réaliste, face à des personnes comme Sébastien Fayolle, Julien Chorier, … je ne pèse pas lourd et ce dans les 2 sens du terme.
Les frontales sont éclairées au départ. Etant bien placé lorsque celui-ci est donné, je me retrouve devant. Mais il m’est difficile de ne pas concéder du terrain. Mes appuis sont irréguliers tout comme ma foulée, je manque de puissance. Je suis donc sur un faux rythme. Je finis par prendre un point de côté un peu avant la montée sur la Croix du Nivolet. Je gère la montée. Suivant un concurrent devant, celui-ci m’entraîne en dehors du circuit. Nous faisons rapidement demi tour pour se retrouver derrière un groupe composé d’une femme, certainement Zuzana Chateau. Puis à leur tour de suivre une mauvaise piste et cette fois c’est moi qui passe devant ce même groupe. Mais devant moi, j’aperçois un peu de monde alors j’accélère. Nous arrivons à la Croix et je pense à la descente qui se rapproche, signe de retour vers la station. Dans la descente je lâche les chevaux, par moment je glisse tout en restant sur mes 2 jambes, c’est plutôt une bonne chose. Mais voilà il m’est difficile de gérer cette descente et je suis à nouveau en sur régime. Arrivée en bas de la descente j’attrape un nouveau point de côté. Je suis obligé de laisser filer celui qui est devant moi. derrière je sens que çà revient et je ne me trompe pas. Au total, je me fais doubler par 4 gars et une femme, Zuzana Chateau. Le point finit par partir et je ne reviendrai que sur un gars. Je franchis donc la ligne à la 23ème position, à plus de 16′ du premier Sébastien Fayolle et juste derrière Zuzana Chateau à environ 40″ tout de même. Bravo à elle, qui a dominé la course dans sa catégorie.
Le bilan pour moi est bon. A suivre …
Surprise!!!
Après la mésaventure du Raid blanc des montagnes de l’Ain ou la grippe s’était invitée . En voulant remplacer Adrien, j ai été débauché par un échoiste: Yvan. C’est donc une équipe ECHO73/Barakafrites sous le nom des “Tortues savoyardes “qui va courir.
Ce matin, nous nous sommes donc élancés sur le raid découverte Hiver ESC Chambéry, à La Féclaz sur les pentes des championnats du monde de C.O. Au programme une C.O. en raquette qui finalement avec le trop de neige s’est terminée en C.O. classique mais sur carte IGN, une épreuve de ski de fond de 10 kms plus du tir à la carabine. Sur la CO sur carte IGN, comme d’hab une balise mal placée près du chemin au lieu d’être sur un sommet avec clairière nous fait perdre près de vingt minutes, mais avec cet handicap, on arrive soit troisième soit quatrième. Yes. Là commence mon petit calvaire, le ski de fond, j’ai fait des progrès mais y a encore du boulot. Y a des formules 1 par rapport à moi, on perd quelques places. Au stand de tir, ensemble on fait 10 sur 10. Des tireurs d élites..lol. Le verdict tombe, on est neuvième. on rentre dans le top ten. Bon ce soir, je farte mes skis, et dès la semaine prochaine, je refais les gammes en skate. Sinon c’est un super Raid, des paysages magnifiques avec des vues, vraiment de bon augure pour l’été prochain. Sur le grand Raid, il y avait pas mal de pointure, c est Franck Gorry qui gagne.
La Saintélyon 2010 restera dans les mémoires comme une édition d’anthologie avec des conditions hivernales inédites. 5 jours avant le départ, plus de 40 cm de neige recouvrent le parcours, et des températures polaires s’installent pour la semaine. Après 20 ans d’absence sur l’épreuve, la neige fait un retour fracassant. L’organisation doit revoir sa partition et les participants doivent s’adapter à ces conditions particulières. Plus de 1500 participants renonceront à prendre le départ. Le décor, encore plus féérique grâce à une nuit claire et une neige immaculée, enchante les sens mais la neige profonde par endroit et piégeuse sur la fin de parcours rend la progression des coureurs plus délicate.
Avec un peu de retard (c’est la faute du webmaster), retour sur la 1ère Saintélyon de Florian qui courait là son premier longue distance avant de s’attaquer en juin à l’Annecime et fin août à la CCC :
“Grosse galère cette nuit ! J’ai eu de bonnes sensations jusqu’à la mi course et ensuite ce fut un calvaire pour terminer (ampoules, genoux et quadri en vrac !). J’avais décidé de calquer ma course sur celle de Maud Giraud, le rythme me convenait parfaitement mais ma préparation était trop juste et j’ai vite manqué de foncier que j’acquiers normalement avec mes sorties vélos. J’ai alterné les 30 derniers km en trottinant et en marchant. L’idée d’abandonner m’a souvent trotté dans la tête et c’est la première fois de ma vie que j’éprouve autant de difficultés, Embrun me parait presque “facile” à côté !
Le parcours était assez chaotique dans les parties enneigées et les nombreuses plaques de verglas sur les parties bitumées étaient dangereuses.
Je termine finalement 123ème après 6h51 d’effort (10 km/h moy.)”
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Je continue la fouille de mes archives de la saison passée, et je vous présente aujourd’hui la preuve qu’on peut encore faire péter sa FCmax même avec un entraînement allure 1 toute l’année…
La scène se passe en février du côté des Alpilles, un footing encore plus que lent à chercher et rechercher un vrai chemin dans une garrigue inhospitalière.. quand surgit face à moi trois molosses costauds… très costauds… et paf le cardio nous fait son record jamais égalé depuis mes années de minimes, 196 puls ! Non, non j’ai pas couru, j’ai juste cru que j’allais me faire bouffer… Comme quoi, rien ne sert d’aller faire des tours de stade…