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PostHeaderIcon Fred raconte son “ardéchois”

2014 Fred ArdéchoisArdéchois 34 kms – 03/05/2014
Frédéric Desprez, Barakafrites Team Sport Nature
Après 2013 et un temps plus que pourri (pluie en bas et tempête de neige sur les hauteurs), j’ai décidé de me relancer sur l’Ardéchois, toujours sur la distance de 34 kms. J’étais inscrit pour la Maxi-Race d’Annecy depuis des mois et il me fallait une course de préparation (même plusieurs si possible) mais j’ai retardé l’échéance, préférant faire du kilomètre semaines après semaines pour rattraper le retard accumulé et retrouver un semblant de forme pour envisager d’être finisher à Annecy (j’avoue que j’ai la pression de Seb Roizot qui a plus d’expérience que moi sur des grandes distances).
Il y a quinze jours je m’inscris alors qu’il ne reste plus que 50 dossards disponibles (cette édition devait être la dernière). Je me dis qu’à moins d’un mois de ma course cible, il faut pas trop taper dedans et je pense le faire en endurance, enfin autant que possible. Je demande quelques conseils à Marc de chez Kiwi Sport et j’achète deux semaines avant les chaussures qui m’accompagneront autour du lac, des Saucony Xsodus 4.0. Il me dit que si je le gère comme une sortie longue, je dois pouvoir reprendre l’entrainement pour ma dernière semaine dure la semaine qui suit, ce qui me va parfaitement vu que je suis en congés. Question entrainement, je sais que je suis limité en endurance (je n’ai pas beaucoup couru à vrai dire) mais côté dénivelée, ça devrait aller large vu ce que j’ai bouffé dans le Vercors depuis 4 mois (enfin on se rassure comme on peut).
Je surveille la météo toute la semaine et ça oscille entre mitigé et pluies faibles. Dur, au moins les températures seront plus clémentes vu qu’ils annoncent 6 degrés au départ.
Après 3 semaines (relativement) dures avec une grosse sortie de 32 bornes dans le Vercors une semaine avant, je fais une semaine plus cool en prévision de l’Ardéchois. En fait, secrètement, je voudrais faire le même temps que l’an passé (5h03’) mais en étant « cool » (alors qu’en 2013 j’avais vraiment fini dans le dur et frigorifié). Bon, c’est pas un temps canon pour cette course et je vais finir dans la première moitié mais pas bien mieux.
La veille je prépare tout le matos avec la tenue prévue sur la Maxi-race et les gels et boissons que je pense aussi prendre là bas. Ma belle tenue bleue et blanche des Barakafrites est (enfin) prête à être utilisée en course. Cette fois je prend les bâtons même si c’est pas hyper nécessaire sur l’Ardéchois mais je veux me mettre dans les conditions d’Annecy.
Le matin de la course, réveil à 5h30 pour aller chercher mon dossard sans précipitation, un gâteau sport vite avalé et zou, direction Desaignes. Pas de flotte sur la route, ça change déjà de 2013 même si le ciel n’est pas bien haut. Arrivé là bas, déjà l’ambiance est là avec des dizaines de coureurs déjà prêts à en découdre, dont certains viennent de loin.
Pas d’échauffement vu que j’ai décidé de partir coolos. Je profite de l’ambiance d’avant départ qui me manquait quand même un max. Comme l’an passé, on a un groupe de percussion au top qui met l’ambiance et que je sais qu’on retrouvera sur le parcours.
Loulou nous fait son speech d’avant course accompagné de Dawa Sherpa comme l’an passé. Il nous annonce que finalement, l’Ardéchois 2014 ne sera pas le dernier et qu’il a retrouvé un « repreneur » pour l’organisation. Top ! Ca aurait été vraiment dommage qu’elle disparaisse.
Cette année, je me met vers la seconde moitié et comme ça je ne serai pas tenté par un départ trop rapide ni démoralisé par les hordes de coureurs qui vont me dépasser dans la première côte où je devrais rester en dessous de 150 pulses.
Un tour du village est neutralisé et on part enfin vers les bois. Le parcours ne change pas trop par rapport à l’an passé et on a une bonne côte dès le début. Comme prévu j’avance tranquille en surveillant le pulsemètre. Tout le monde a l’air super concentré et ça ne cause pas bien dans les groupes qui attaquent la montagne. Comme prévu il ne fait pas froid et je commence même à transpirer. Au bout d’un moment je commence à utiliser les bâtons et ça m’aide à faire baisser les pulses. Je trouve que je suis nettement moins dans le dur que l’an passé où j’avais ramassé un peu dans la deuxième partie des côtes du départ et où je m’étais fait largement dépasser. Le premier sommet arrive après 6 kms puis on a une petite descente rapide en file indienne avant de reprendre l’ascension jusqu’au sommet le plus haut de la course. Comme prévu, le groupe de percussions nous attend dans la seconde montée et on les entend depuis en bas.
Arrivé sur le plateau, on peut enfin courir (enfin en ce qui me concerne parce que les premiers n’ont pas du trainer dans la montée) et dérouler dans la plaine, cette fois sans neige. J’ai à peu près une heure de course avec peu de dénivelée et je peux rattraper mon retard et faire augmenter la moyenne. Certains coureurs ont des allures très hétérogènes, en ramant dans les montées et en volant dans les descentes. Je reste pour ma part plus « tranquille » en gérant les montées et ayant une bonne allure (mais pas défonce) dans les descentes. Dans une montée je me fais rattraper par Stéphane Fournier qui reconnaît mon maillot des Barakafrites. Je lui rappelle qu’on est connectés sur Facebook et je lui souhaite bonne course pour la suite (il est parti pour le 57). Je le laisse devant pour ne pas m’enflammer. Ma douleur au talon se réveille vers le 15ème et je sens que ça va me gaver à Annecy (mais c’est pas ça qui m’arrêtera). Dans la descente, on a le passage du château qui est toujours aussi magnifique et original. Vu les pierres et les marches, il faut être quand même vigilant pour les chevilles mais ça passe tranquille. Je repars rapidement pour finir cette montée et rester dans mes temps prévus. Il y a une partie assez pénible avec un single rempli de rochers où on rame un peu mais bon, rien de dramatique.
Après le 18ème kilomètre on reprend la montée pour la seconde difficulté. Je sais que c’est la dernière mais on monte presque pendant 7 kms. Au 22ème kilomètre on a enfin le ravitaillement. Je remet un sac de poudre miracle dans la poche d’eau et je refais le plein. Je me ravitaille un peu mais mes gels me suffisent amplement. Il y en a plusieurs qui sont assez mal et ça commence à pas mal marcher et je double (même avec mon allure cool).
Arrivé au 26ème, je sais qu’il ne reste quasiment plus que de la descente et un peu de plat. L’an passé, j’étais bien cramé et j’avais même parfois marché sur le plat. Cette fois je déroule et je me sens toujours aussi bien. Au 29ème, on laisse partir les concurrents du 57 (j’avoue que ça m’a traversé l’esprit un moment d’obliquer vers la gauche).
Les 6 derniers kilomètres sont une descente souvent assez dure mais qui se passe mieux sans la pluie. L’an passé dans les prés mouillés c’était holiday on ice avec pas mal de chutes, cette année on peut courir. Je me fais atomiser par un concurrent qui termine la descente au taquet. Arrivé en bas et sur un passage à gué, je me fais doubler par un autre concurrent que j’ai doublé juste avant et je fais un point d’honneur à le reprendre et à ne pas le laisser me repasser. Il y a une fin sur route avec plusieurs coups-de-culs et cette fois je laisse monter les pulses pour « faire la course ». Ok, il est temps. J
Au final je termine en 4h50’ soit un peu plus de 10’ de gagnés par rapport à l’an passé. C’est clair que l’état du terrain y est pour beaucoup. Par contre, comme prévu je suis vraiment bien sur la fin, quasiment sans courbatures et prêt à repartir pour un tour. C’est plutôt de bon augure pour la Maxi-race même si je sais que je suis parti pour une grosse journée et qu’il va falloir que je gère à mort pour arriver entier et dans les temps. En rentrant, j’analyse les données de ma montre et je m’aperçois que j’ai rempli le contrat avec les pulsations vraiment régulières avec une moyenne à 143 pulsations. Certes la vitesse n’est pas terrible mais si je tiens 1 km/h de moins sur la Maxi-race, je serai largement dans les temps, ce qui est assez rassurant.
Bon, l’an prochain je me met sur le 57 et je le fais plus au taquet histoire de voir ce que je vaux (encore) et parce que c’est quand même un peu frustrant de ne pas vraiment faire la course.

PostHeaderIcon Mon premier Raid du pt d’Arc

18 ans de sport d’endurance, 7 ans de raid, et aucune participation au Raid du Pont d’Arc, il fallait corriger cette erreur. Ce fut chose faite cette année. On fait équipe avec Toma sur  le “court” : pas de marmites glacées au programme c’est mieux. D’habitude (et depuis qu’on est né, c’est comme ça), c’est moi qui tracte Toma à pied. En général pas en côtes, mais sur le plat. Là, dès le départ (en côte), je suis dans le rouge et je vais passer tout le trail à me faire doubler par des petits gros et des boiteux en zieutant Toma loin devant qui marche régulièrement pour m’attendre. J’ai les cuisses en bêton, les mollets limite de crampes et je me dis qu’on est parti pour une journée en enfer. Ca revient pas mieux dans les descentes, ni sur le plat qui nous mène aux bateaux. Toma nous fait une mise à l’eau de triathlètes, et moi je manque de louper ma montée dans le bateau. C’est sûr: je vais pas tarder à cramper des jambes, le truc classique en canoë. Sans titre 2Mais ! Oh surprise, ça va plutôt bien. On remonte quelques équipes, on fait l’effort aux entrées de toboggans pour gratter quelques places, je suis bien mieux que tout à l’heure. Manque de pot, une fois le bateau posé, la section “rando” s’avère être un second trail pour le parcours “court”. Ca va un poil mieux que la première section, faut dire que l’allure générale a baissé un peu. On rejoint le parc sans trop avoir reculé dans le classement, même si on s’aperçoit qu’un tout petit aller-retour sur une piste pour une bête erreur d’aiguillage nous ramène les duos qu’on pensait avoir lachés depuis le début du canoë. La pluie est toujours là, mais fine et pas trop dérangeante, même si les transitions nous refroidissent. C’est encore le cas au début du VTT, on hésite à mettre une veste, mais comme on sait que ça va grimper d’entrée, on reste dans la même tenue. On double plusieurs équipes, puis un bruit bien connu surgit de la roue arrière de Toma: “Pschiiittt “. Déjà, ça fuyait le matin au gonflage à 6h du matin à Valence, le liquide avait fait son oeuvre, mais là visiblement le bouchon de latex vient de sauter. Toma se met à rouler fort,( comme s’il allait pouvoir avaler les 21km restants avant d’être à plat ?), puis le pschitt s’arrête. Toma est carrément sous-gonflé, mais le secteur est plutôt “doux” niveau revêtement. Ils nous ont déniché les plus beaux single-tracks du coin, alors on continue comme ça. On finit par décider de prendre une pause express pour essayer de regonfler. De quoi voir revenir les équipes qu’on a doublées au début du VTT, (Grrr) et nous voilà de nouveau en selle. Et ça semble tenir ! Passés les 10 pemiers km techniques, tortueux, mais qu’on passe tout sur le vélo (avec fierté), on se retrouve sur de la piste, et ce quasiment jusqu’à la fin. lucLa vitesse moyenne fait un gros bond vers le haut, mais on voit plus grand monde. Une dernière descente technique en compagnie des raideurs du “long” et nous voilà au bord de l’Ardèche pour refaire sur la rive ce qu’on a fait le matin en bateau…le tout en gérant les crampes naissantes. Tout à coup, Toma me dit “Y’a Franck devant !!” Non !! Vu comment les deux gazelles ont attaqué la course à pied, on se dit que c’est pas possible qu’ils aient dilapidé leur avance. On reprend le Luc-de-Franck, puis Franck malgré son gros coup de poignée des gaz (qui achève son coéquipier). On les aurait bien attendus, mais 4 ou 5 équipes pointent leur nez sur le chemin, alors on fonce, on lâche rien. On finit 31° au final. J’aurais espéré un peu mieux, mais pour cela, il aurait fallu courir à mon niveau. Il reste deux semaines pour trouver la clé de “la foulée du kenyan” perdue, avant le raid Ore; mais là-bas , avec une carte en main, ça partira moins vite peut-être ? !

PostHeaderIcon Un dimanche pluvieux à Vallon…

KId RAiD 2014Grosse activité du team ce WE à Vallon Pont d’arc pour un raid un peu particulier puisque sans boussole mais idéal pour faire de la vitesse
Au programme :
1 Kid raid pour La famille Tsomba : mes  2 mini frites vont dérouler une CO dans Vallon, du VTT, un mini Trail, une tyrolienne, du tir à l’arc , en gros comme les grands mais sans classement et avec une organisation adorable … et sous le soleil les veinards !
Au final, même si c’est court, pas question de le faire à moitié avec la moyenne frite qui veux tout faire à fond et je finis le soir un peu éteint dans le canapé.
Le lendemain, mon 6eme Vallon et le 4eme avec Luc pour le raid court de Vallon soit 50 km pour 1100 de D+, le tout au taquet puisque pas de CO.
On retrouve la team Micoud sur le parking de Vallon et direction le sas de départ avec les 350 autres équipes . Freddy est déjà parti se réchauffer dans mes marmites du grand parcours.
Comme prévu et comme année, ca part au taquet et pour éviter les bouchons sur le canoë, on essaie de suivre le rythme et ca nous permet de doubler Luc puis Toma avant la sortie de Vallon, pas vifs les deux à ce moment la… Un petit coup de longe pour le Luc afin de rester “Groupir”, un parcours assez ludique en trail et l’on rejoint les canoës avec pour objectif de perdre le moins de place.canoe vallon
Glissières passées nickel et le rapide du “Charlemagne” passé avec brio par Luc, qui en a profité quand même pour me rafraichir à chaque grosse vague par l’eau vivifiante de l’Ardèche.
Traversée de l’Ardèche sur un pont de canoë bien sympa et remontée dré dans le pentu pour récupérer les VTT. On prend les vélos avec T.Laplanche et on se dit qu’on est pas mal. S’en suit un VTT un peu “crampogène” pour Luc mais qui arrive à gérer mais quelques places s’envolent.
A 3 km de l’arrivée, retour par les berges de l’Ardèche et dans une nature calme et bucolique, j’entends au loin des voix : ” on arrive , on arrive Francky, on arrive” et la je me retourne !!! Plus de Luc mais 2 Micoud pleine bourre qui vont nous déposer à quelques encablures de l”arrivée.
Rien à faire, Luc est cramé et nous finirons 3 places derrière,  34eme
Au final, parcours toujours aussi rapide 4h34 sous la pluie et mais beau tir groupé du Team  sur le court.
Franck

PostHeaderIcon P’tit nouveau

Manu CrosAprès un galop d’essai en compagnie de Lilian au Défi X-sport Drôme, Manu Cros n’a pas résisté à rejoindre la Barakafrites pour cette saison. Bienvenue à lui ! Prochain rendez-vous raidistique en juin pour cet adepte de trail, qu’on va se faire un plaisir d’initier aux joies du raid long

PostHeaderIcon Un dimanche de Pâques à Vallon Pont d’Arc

small_affiche2014Ce dimanche, 3 équipes de Frites seront au départ du réputé Raid du Pont d’Arc et ses parcours zéro boussole. Toma et Luc seront sur le petit parcours, celui où on se baigne pas trop dans les marmites glacées (surtout que la pluie pourrait bien s’inviter) tout comme Franck et son pote. Tandis que Freddy et Denis se farciront le grand, en espérant que Freddy pourra courir convenablement malgré son dos. Denis, quant à lui est en pleine bourre une semaine après son Trail Drôme.
PS Freddy me charge de vous rappeler qu’il fut un temps où il l’a gagné ce raid…et pas qu’une fois mon neveu !!

PostHeaderIcon trail des glaisins 2014 version teigne des Aravis

trail des glaisins

Après un premier raid, voici venu le temps d’un premier trail
Direction Annecy Le Vieux pour le trail des Glaisins, ma zone d’entrainement du midi et surtout à 10 min de chez moi.
C’est  un trail toujours super bien organisé, des bénévoles au top et en plus on court chaque année pour une bonne cause.
Profil 30 Km avec 1500 de D+, ca va piquer …
Comme prévu ça part comme des balles et la je commence vraiment à sentir le poids des ans. J’essaie de reste au contact mais la meute est déjà loin.
De plus cette année pas de copains pour se challenger donc je vais me farcir les 30 bornes tout seul, ça me forgera le moral !
Premiers 5 km assez rapides avant la grosse montée dré dans le pentu pour aller au col du Barman, puis le Lachat ou quelques névés subsistent. La montée est dure et sans replat et je commence à prendre quelques places dans la vue et à voir les premières féminines me doubler.
Arrivé en haut je pointe déjà à 120 eme place et une grosse descente se profile, terrain ou je perds systématiquement des places encore.
Au bas de la descente, 500 m de route casse-pattes et ça repart pour 400 D+. On arrive dans mon terrain de jeu mais j’ai déjà plus le tonus et je sais que le final va être long, mais je m’accroche pour essayer à minima de faire le même temps que l’année dernière.
Passage à Pré vernet avec 10 min de retard sur mon horaire idéal et la,  je sais que je ne ferai pas moins de 3h30.
Les 5 derniers km sont alors super durs car les crampes arrivent dans les 2 mollets ! En même temps ! et en plus le chemin est roulant : frustrant
Mais bon l’arrivée est proche, encore une petite montée et  j’essaie de dérouler jusqu’à l’espace Rencontre et l’aire d’arrivée.
Après un dernier sprint pour garder ma place, le verdict tombe : 3 min de plus que l’année dernière
140 en 2014 (Vs 108 en 2013) ! En oui certains se bonifient moi je régresse
Enfin une bonne bière avec David, blessé sur le coup mais toujours présent et qui en profite pour faire la photo officielle du Franck avec son maillot des Barakafrites à l’arrivée
Prochaine étape vallon , ca  va envoyer du lourd …..

PostHeaderIcon le Défi x-sport de Franck

FranckPremier raid 2014, premier raid sous mes nouvelles couleurs des Barakafrites, fier le Tsomba !
Premier raid avec Toma, ah non il annule, donc premier raid avec Seb, ah non il fait le petit, deuxième raid avec Luc, ah  non il fait des photos pour le Mag donc je demande à Denis Merlin qui accepte donc voila on est parti.
Petit stop chez Denis et Sandrine le samedi qui m’accueille gentiment histoire de me couper la route depuis Annecy et j’en profite pour revoir leur adorable Capucine.
Bon rv à Montelimar ou tout le gratin du Raid semble vouloir débuter sa saison ici. Sympa on en profite avec Denis pour bisouiller la moitié du peloton.
Et bien sur Seb et Toma sont la …Cool on va se tirer la bourre entre Barakafrites. Luc sera aux photos.
RAS avant le départ à part un peu d’appréhension car je sais que Dens va partir comme une balle et qu’il va me mettre dans le rouge sur la première partie de trail de 8km.
Ca démarre comme prévu à fond à fond, je m’accroche et on reste au contact des meilleurs mixtes et on prend le VTT pour 12 km en 23eme position, 5min quand même derrière les premiers !
En vtt, je tente de suivre le rythme, dur en début de saison et au 9km : la tuile !!! Dens arrache tout son dérailleur mais alors tout ! Tout le peloton commence à défiler … et on arrive finalement à tout enlever chaine + dérailleur et nous voila partis pour une vraie après-midi de bike and run.
Résultat: 15 à 20 min de perdues et surtout le moral dans les chaussettes.
Mais on décide faire le bike and run O et la CO. Dens prend en main l’orientation et je tente de le suivre. Au final ca passe pas trop mal entre 13 et 25 eme positions sur les 2 sections.
Ensuite au retour au parc à vélos le plus long commence enfin surtout pour Dens qui a décidé de rallier l’arrivée en courant. On se débarrasse donc du VTT au parc à vélo gentiment ramener par l’organisation et c’est parti pour les sections VTT avec un seul vélo.
Denis assure comme un bête et en plus les sections sont pas trop roulantes au début. On arrive même à temps pour faire la première boucle optionnelle avant 14H.
Mais un peu de raison nous fait continuer, un petit coucou à Luc qui est un poil surpris de nous voir avec un seul vélo et on enquille la 2eme option VTT qd même après un long single non roulant ou Denis me met 5 à pied !
Un fois la 2eme option passée,  ca commence à devenir plus roulant et la on perd vraiment du temps. Voyant Dens commencant à coincer un peu je repasse en chaussure de trail et on va finir les 7/8 derniers km en pur bike and run sous une méteo de plus en plus capricieuses alternant averses de petits grêlons et soleil.
On arrive enfin au parc à velo final pour en finir avec 2 mini CO en relais.
Dens pas frais part en premier et j’en profite pour taper la causette avec Toma qui semble t-il a hâte d’aller voter :) et on se fait saucer gentiment histoire de bien avoir froid !
Je finis la 2eme Co pas trop mal et voila un raid fini au courage ou le classement  (39 sur 70 partants) n’aura prouvé que notre volonté farouche de finir avec Dens.
Vivement le prochain avec 2 vélos ……

Franck, la teigne des Aravis

PostHeaderIcon Raid des collines

DSCF7472Ce samedi, on s’alignait, Lilian et moi sur le Raid des collines. Trois formats au menu, on avait choisi le moyen format annoncé à 4h30 de course au score : bien assez pour nous. Direction Bathernay et ma Drôme des collines natale. Départ 12h30 pour 1,5km de trail pour commencer, juste pour étirer la trentaine d’équipes. On a choisi de garder les chaussures vélo et vu que c’est sableux, ça gêne pas : bon choix. Puis on attaque le premier VTT’O suivi d’itinéraire (tout le raid se fait en orientation sur cartes IOF) de 17km. Le premier CP est tout là haut sur la crête, face à la tour de Ratières. L’orga s’est amusée à mettre une balise de 1,50m pour qu’on l’on voit du départ , tout en bas. On a fait le premier trail tranquillou, mais là, ça nous met dans le dur direct. Au CP3, on retrouve Pierre et Fred, des copains des Baronnies avec qui on a souvent ferrailler en course. Puis on se tape presque 2km de sable et galet sur un sentier super dur à avaler en VTT avant le CP5, que bon nombre d’équipes sont venues choper…par la route : cool !! D’autant plus que Lilian se met une boîte juste avant de sortir du single. Il a le genou qui pisse bien le sang: pourvu que ça gonfle pas. Encore un choix d’iti à faire entre 8 et 9, on fait un bon choix, mais on doit couper un peu à travers le vert : première bêtise pour ma pomme et premières rayures sur les jambes. Les derniers CP s’enchaînent et nous voici sur les hauteurs de St Donat pour la première CO urbaine sprint. _DSC1076On pense à un truc très court, donc on garde nos shoes VTT. Finalement l’affaire est un peu longue : 13 balises aux 4 coins de la vieille ville en chaussures de vélo, le claquement de la cale finit par rendre le pied douloureux. Mauvais choix = 2 ou 3 min. Pas de problèmes dans cette CO, juste une qu’on doit prendre au retour via un crochet et qu’on aurait du prendre à l’aller. Remontée dré dans le pentu jusqu’au VTT et nous voilà repartis. 1,5km de VTT suivi d’iti quasiment tout rubalisé, et on attaque le VTT road book. Tout se passe jusqu’à 1km du but, où on enquille dans un sentier en descente pour rien. Le road book a dit « sentier peu visible à gauche », mais pas de le prendre et le dessin dit de prendre le suivant très visible : 3° bêtise de la journée = 3 min ?. Ils nous avaient conseillé que le second raideur suive sur la carte générale l’avancée du duo, sachant que le parc à vélo était noté. On l’a pas fait, on aurait du. Mais bon, on est encore en compagnie des futurs seconds. C’est l’heure de la grosse CO trail. Après deux balises, nous retrouvons Pierre et Fred avec qui nous avalons tout le menu finalement. Décidés au départ à en laisser une ou deux, on prend tout mais…….1) on n’a pas pris le road book avec nous (il est sur le VTT )et on sait plus trop si la porte horaire finale est à 17h15 ou plus 2) Lilian coince sur une remontée droit dans la pente en sous-bois. On laisse filer nos potes, futurs troisièmes. Quand on rejoint le parc, il est 17h02, il reste 3km de VTT à faire avant la porte finale qui est bien à 17h15 : Ca va être chaud. Le début se passe bien, puis après une belle descente, ça remonte droit sur le goudron à 1km du but. Là, on crampe tous les deux. Puis on rencontre un copain, on arrive au dernier carrefour délicat : tiens une balise. Le copain la bipe et me demande pourquoi je la prends pas. Je regarde ma carte « Non, nous on l’a pas celle-là , c’est normal, vous vous êtes sur le grand parcours » 4° connerie de la journée, et celle-là, c’est la suprême de connerie : « Ben normal, les balises en suivi d’iti, elles sont pas sur la carte Ducon, me dirai-je plus tard, elles sont sur le road book que t’as encore planqué sous la carte ». A ce moment là, on est obnubilés par l’heure, il est 17h13. On y est presque : sauf que la fin se fait par le début du trail et là on se rappelle que ça monte et que c’est du sable : c’est foutu. On arrive au parc à 17h18, on zappe la dernière CO sprint show (pas grave, elle ne rapportait pas grand-chose) et on passe la ligne à 17h19 avec 4 min de pénalités. Pierre et Fred ont réussi à passer le cut et même quelques balises de la dernière CO sprint, mais ils ont quand même 2min de péna. Sa montre n’était pas calée. Malgré ça, ils font 3° et on pense alors être pas loin : Erreur ! On a pris 1 000 points de péna pour le PM, (mais ça on le comprendra qu’à 20h) soit le double de ce que nous ont rapporté les 14 balises de la CO trail, plus 250 points pour le dépassement et on va voir au fin fond du classement s’il fait beau. Ou comment faire un gros pâté à 1km du but après avoir joué le podium toute la journée. Tant pis, on reviendra.

PostHeaderIcon Défi xsport Drôme

Depart

Récit de Manu Cros coéquipier d’un jour de Lilian Valette sur le parcours découverte. Le compte rendu est à retrouver sur le blog de son groupe de traileurs du Taillefer:

à lire ici

PostHeaderIcon Début de la saison 2014

xsportdrRentrée des raids pour les Barakafrites ce week-end. Toma et Seb, Franck et le guest-star Denis Merlin, ainsi que Lilian et le TTT Manu Cros seront au départ du Défi X-Sport Drôme à Montélimar, les deux premières équipes sur le parcours long, support de la 3° manche du Challenge National des Raids et les Chabeuillois sur le parcours court, mais tout aussi complet. Good Luck guys. Quant à moi, je serai aussi dans la place, appareil photo autour du cou en reporter multi-tâches.